Notre sélection de 4 absinthes fortes en réglisse
Absinthe des Poètes, Distillerie du Val-de-Travers : réglisse et douceur (blanche)
Toute douce, cette Absinthe des Poètes blanche s’inspire d’une recette de 1903, rustique et amère, que le distillateur Christophe Racine a retravaillée pour l’adapter aux palais contemporains. Baignée de réglisse, voici une absinthe à la suavité étincelante, escortée par la fraîcheur de la menthe et le citronné de la coriandre.
Teneur en alcool : 52°
Le Chat, Absinthe Bovet La Valote : réglisse et clandestinité (blanche)
La douceur de la réglisse se marie subtilement à l’amertume de l’absinthe et aux notes herbacées des plantes dans cette absinthe mythique, que le non moins légendaire clandestin Williy Bovet a distillée durant presque 50 ans. Et si le Willy nous a depuis quittés, Le Chat reste, distillé à l’identique par la fille du contrebandier.
Teneur en alcool : 54°
Absinthe Marylin, Absinthe La Valote Martin : réglisse d’initiation (blanche)
Excellente absinthe d’initiation, cette « Marylin » fut conçue par le père du distillateur à l’époque de la clandestinité. Il la destinait aux palais novices, dénuée de toute amertume mais douce à souhait autour d’opulents bouquets de réglisse. 10 plantes entrent dans sa composition, dont l’absinthe cultivée au Val-de-Travers.
Teneur en alcool : 54°
Absinthe La Grenouillarde, Absinthe La Valote Martin : réglisse et anis (blanche)
Voici le bonbon de la renommée distillerie Absinthe La Valote Martin qui s’amuse ici avec la réglisse et l’anis pour doper son nectar d’une douceur affriolante. Grenouillarde, comme le gentilé des habitants de Boveresse, où se languit la distillerie, à quelques centaines de mètres du mythique séchoir à absinthe historique qui écrivit les plus belles heures de l’absinthe au Val-de-Travers.
Teneur en alcool : 65°
Le saviez-vous ?
Le sucre ne se dissolvant pas dans l’alcool, ce sont les plantes, et seulement les plantes, qui amènent la douceur à l’absinthe. Anis vert et réglisse en tête, mais aussi badiane, mélisse, …
Ainsi, on ne parle jamais d’une absinthe « sucrée » mais d’une absinthe « douce » ou « ronde » car il n’y a jamais d’adjonction de sucre dans le processus de distillation de l’absinthe.
A contrario, une absinthe qui ne présente pas ou peu de douceur est dite « sèche ».
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